Bonjour à toutes et à tous,
Voilà une étape plus tôt facile avec un ciel couvert. Mais il n’a pas plu. Les 3/4 de l’itinéraire s’est déroulé sur route.
Il est 05 h 24 mn, nous quittons l’hôtel.
Le synoptique
Il n’y a rien ici.
Nos paramètres
- Départ : 05 h 24 mn
- Durée : 06 h 06 mn
- distance 18 km
- dénivelées + 37 – 92
- Arrivée : 11 h 30 mn
Le récit
Une météo incertaine.
On croise un château et ses dépendances.
L’étape longe la Drôme, et la voie de chemin de fer.
Puis un grand corps de ferme.
Et la maison d’un viticulteur artiste.
En chemin halte petit déjeuner.
Nous franchissons la Drôme
Nous longeons un canal.
Au 3/4 du chemins nous prenons enfin un sentier.
Libre !
Et l’itinéraire se termine le long du la Drôme.
Je voulais piquer une tête, même avec mon sac à dos. Les sacoches auraient fait flotteurs. Lol
Le Patron n’a pas voulu.
Arrivée à Crest
En attendant l’ouverture de l’hôtel à 14 h, le Patron travaille sur l’article de ce soir.
Une bête je vous dis …
Un hôtel désuet, il fut sans doute splendide.
La chambre donne sur le jardin.
La robinetterie et le radiateur art déco …
La série maisonnettes de vignoble
Pour les romantiques …
La série chemin de fer
Pour les nostalgiques de la Sncf et j’en connais !
La mauvaise pensée
En chemin après le petit déjeuner, nous nous arrêtons dans un café en bord de route. Le Patron veut un café au lait (il est resté bébé). On s’assoit en terrasse. Comme souvent, personne ne vient. Le Patron se lève, commande son café au lait au bar en signalant que l’on est en terrasse. Et revient s’assoir. On attend. On attend encore ; et encore. Je le sens le Patron s’impatiente. Il fulmine. Il est prêt à partir sans autre forme de procès. Et si le patron du bar lui fait une observation il est capable de rétorquer : « vous vous en faites un champoing de votre café au lait ». Mais sur ces mauvaises pensées, le café au lait arrive. Et le serveur apporte avec une écuelle d’eau pour moi.
Et le Patron se dit qu’il s’est bien trompé et qu’il n’aurait jamais dû avoir ces mauvaises pensées. Lui qui s’en remet tant aux creux des paumes de la Providence.
Le chapeau égaré, et le creux des paumes de la Providence.
Comme chaque matin en cours de route le Patron fait une pose dans la nature. Ce matin comme les autres ; puis nous repartons. Quelques centaines de mètres plus loin il souhaite mettre son chapeau de pèlerin.
Mais voilà : il n’est plus dans poche. Aussi quelle idée de mettre son chapeau dans la poche : le plus sûr moyen de le perdre !
Il y est très attaché. Je le sais. Tempête et désespoir s’embrasent sous son crâne. Que faire ? Le Patrons décide que nous retournions. Et dans le petit bois : le chapeau, sagement au sol. Le Patron jubile.
Voilà c’est tout pour aujourd’hui.
A bientôt les amis !
Olix et Michel
Bonjour, mes petites-filles veulent le même chien qu’Olix mais il est unique ! N’êtes-vous pas trop fatigués ? Avec ce temps incertain et la chaleur qui s’ annonce et les kilomètres dans les pattes. Bonne continuation.
un certain talent de scénariste et écrivain l’hotel devait etre superbe avec de telles colonnes
Tes textes et photos sont un vrai régal ! Olix prend sacrément bien la pose !!