Bonjour à toutes et à tous,
Voilà une étape courte. Cependant le Patron a bien fait de s’arrêter bivouaquer hier soir, il restait encore 2 h 30 de marche avant d’atteindre Millau.
Des commentaires
Humanoïdes
Tros peu de photos d’humains : là c’est la faute du Patron. Chaque fois où nous avons un contact intéressant, comme hier avec un couple de jeunes vététistes, il ne pense pas à faire de photos les personnes et moi. Il promet de faire attention à l’avenir et avec l’autorisation il publiera les photos avec les intéressés.
Animaux sauvages
Trop peu d’animaux sauvages : là ce n’est pas la faute du Patron. D’abord nous en avons rencontrés très peu. Et quand cela s’est produit, le temps qu’il sorte l’iPhone de la poche, qu’il le mette en mode photo, le chevreuil est enfui bien sûr.
Nos paramètres
- Départ 06h 05 mn
- Durée 3 h 00 mn
- Distance 9 km
- Dénivelé + 78 – 537
- Arrivée 9 h 00 mn
Le récit
5 h, le réveil sonne. Le Patron ne se lève pas. Pas vaillant ce matin ? Une petite flemme ? C’est vrai que démonter le bivouac et ranger le sac de si bon matin, il faut un peu de courage. 5 h 22 mn il se lève enfin. Faut dire que dans la nuit une légère douleur ligamentaire au genou intérieur gauche, l’a réveillé. Nous partons. Cette douleur persiste, mais très légèrement. Le Patron diagnostique une tendinite. Arrivé à Millau, il achète à la pharmacie un anti-inflammatoire à usage externe. Sans doute il n’a pas assez bu comme le suggère la pharmacienne. Bien juste : il est vrai qu’avec les Bivouacs l’économie d’eau est de rigueur pour que lui et moi puissions boire. Depuis il s’enivre à l’eau claire.
Nous quittons le lieu du bivouac : il est 06 h 05 mn ; peu de retard. Les lueurs de l’aube se lèvent sur les Gorges de la Dourbie.
Nous croisons un réservoir. Le Patron m’interdit de boire : trop peu de débit. ; dommage pour moi. Depuis hier soir nous n’avons plus d’eau.
J’ai soif !
Et un observatoire de chasse.
On fait des selfies.
Et nous poursuivons la descente sur Millau. Le chemin est parfois très agréable, parfois très abrupte et caillouteux.
Les collines environnantes de Millau.
Un parapente glisse dans le silence.
Nous approchons. La descente paraît interminable au Patron.
Nous franchissons la Dourbie.
Et nous voilà rendu devant un petit déjeuner : café au lait, croissant, pain au chocolat, pain au raisin. Le moment est sublime.
Voilà les amis. Aux alentours de 11 h 30 mn nous avons rdv avec Charly l’assistance, et pour me faire plaisir avec sa maman et sa sœur. Ce soir un bon restaurant ! Et demain repos : c’est bien pour le genou du Patron.
Olix et Michel
Bonjour à vous 2 et à l’assistance toujours remarquable.
Je vous avais quitté au Bleymard, contre le Rigi, j’ai peut être eu tort !!!
Toujours aussi beaux paysages et protagonistes, et en plus ça m’évite les courbatures !!!
Merci encore, vous êtes splendides !
Et buvez, les tendinites sont parfois de véritables plaies à gérer …
Biz
Pensez à vos articulations. Bon repos et bn resto.
soigne toi bien michele la bise à l’aasistance et olixxxxxxx
Prends soin de tes tendons et ligaments … le manque d’hydratation (hydratation = eau lol) m’a valu 6 mois de kiné au retour des Maldives …
T’as prévu de revenir un jour mon Mich ou c’est le patron qui t’exploite !………
Bisous a tous les deux
La Co