20220809 Parce qu’il faut bien repartir …

Bonjour les amis,
Il y a comme une évidence : repartir.

Vers l’ailleurs, en dehors de la « zone de confort ».
Comme toujours avec l’engagement, là bas un certain bonheur attend, disponible. Vaincre les doutes pour aller le chercher.

Le bonheur de retrouver la puissance et l’immensité de la solitude.
Le bonheur de s’inscrire dans un autre espace-temps.
Le bonheur de l’échange très intime avec les pierres des sites archéologiques et le dialogue mental les hommes qui les ont habités.
Le bonheur d’accueillir l’altérité du présent, à la rencontre des autres du maintenant.

Alors pour partager je ranime ce blog http://paysdecham.fr.
Comme je l’écrivais en ce mois de février 2018 :
« Ce blog de voyage que j’appelle « Pays de Cham » a pour intention de partager mon aventure. Conçu pour une recherche personnelle, avec ce blog, ce voyage s’enrichit, s’élargit et s’approfondit à cette dimension du partage. Je le rends ainsi plus fraternel. Pour autant que j’y parviendrai, je consignerai dans ces carnets l’avancée de mon périple, les difficultés qui ne manqueront pas de s’élever et les joies qui me seront offertes. Mais j’y consignerai aussi mes connaissances. N’étant ni archéologue, ni ethnologue, ni exégète, ces rédactions n’auront aucune valeur scientifique. Elles ne seront rédigées que pour aider à mieux me suivre, et à comprendre ce qui profondément me motive pour aller seul dans ces contrées. Et pour comprendre pourquoi là-bas, j’ai rendez-vous avec moi-même et avec vous aussi maintenant.« 

https://paysdecham.fr/20180216-pourquoi-le-blog-pays-de-cham/

La dimension temporelle du continuum de mon intérêt commence avec Toumaï, il y a 7 millions d’années et s’arrête en 732 à Poitier, voire en 1 492 en Andalousie.

Un peu comme un pèlerinage aux sources toujours inaccessibles, la recherche des origines, toujours illusoire relève du goût de se situer dans l’espace-temps, mû par l’unique aspiration de comprendre, avec empathie, ce monde et les hommes qui le peuplent.

Ce que je sais encore aujourd’hui comme en 2018, est que là-bas j’ai rendez-vous. Et je ne saurai décliner ce rendez-vous, sauf à perdre ma dignité à mes propres yeux.

Voilà pourquoi ce voyage.

Alors, là-bas c’est où ?

Michel