20220825 Quelle préparation ?

Voilà un article plutôt technique. Ici je fais le point sur la préparation.

Voyageur autonome en sac à dos (« backpacker ») la difficulté essentielle est la maîtrise du poids porté.

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Pour bien faire, le sac ne devrait pas excéder 15 kg. Au delà les longues marches sont pénibles. À ce jour j’en suis à 15 kg (Sac à dos de voyage + petit sac à dos). À titre d’exemple, mon sac pour la traversée de la Corse sur le GR20 était déjà d’environ 13 kg.

Le vol aller sans retour

De préférence un vol direct sur Le Caire, je n’aime pas les transferts de bagages surtout pour un sac à dos.
De préférence un vol qui n’arrive pas tard à destination : j’aime avoir du temps pour le transfert de l’aéroport au centre ville.
Pas de vol direct à partir de St Exupéry ni de Charles de Gaulle. Les vols directs partent d’Orly. Va pour Orly.
Depart le 31 août 06:30 – Arrivée 11:00 au Caire – 4:30 de vol
Vol Transavia TO 4330
L’horaire me convient tout à fait
Comme je l’écrivais dans mon article précédent : en fait un billet « aller » sans « retour ». Je peux ainsi revenir dès que nécessaire selon les circonstances.
C’est à dire : tout se passe bien je rentre fin novembre ; des difficultés de santé, d’organisation, de relations s’élèvent … et je rentre sans attendre.

La question du visa

Tout ressortissant de l’Espace Shengen, dont de la France, peut obtenir directement un visa de 30 jours à son arrivée sur le territoire égyptien pour un coût d’une vingtaine d’Euros.
Je pourrais m’en contenter. Pour un séjour de 90 jours (3 mois), il me faudrait alors renouveler le visa auprès d’un service de l’immigration 2 fois. Avec cette procédure je crains le pire : y a-t-il un services de l’immigration dans toutes les grandes villes ? Combien de temps cela prendra-t-il ? Après avoir pris le temps de rejoindre le service de l’immigration le plus proche à l’expiration du 1er visa de 30 jours sans doute perdrai-je 1 à 2 jours à chaque renouvellement. Une galère prévisible …

Une autre solution : obtenir un visa de 90 jours. Cela est possible. Il faut en s’y prenant à l’avance opérer avec un consulat général : celui attribué pour la région de mon domicile est le consulat général d’Égypte à Marseille.
Hasardeux de traiter par téléphone et par mail. Le seul moyen sûr et efficace est de se rendre à Marseille au consulat général.

  • Marseille le 10 mai 2022 :
    – recueil de la procédure à suivre ;
    – du formulaire à remplir.
  • Marseille 20 juillet 2022 ;
    Dépôt du dossier complet avec notamment ;
    – le formulaire complété ;
    – le passeport ;
    – un chèque de Banque de 103 € ;
    – le billet d’avion ;
    – l’attestation d’hébergement : pour ma part réservation de l’hôtel au Caire.
  • Marseille 1er aout 2022 :
    Retrait de mon passeport avec le visa de 90 jours.

Une agréable surprise : le visa attribué est d’une durée de 6 mois à multiples entrées assorti d’un temps de séjour maximum de 90 jours.
Traduction : à compter du 31 août (ma date d’entrée initiale) je peux pendant 6 mois entrer et sortir du territoire égyptien à ma guise sans excéder un temps de séjour total de 90 jours.

Cette disposition me permettra, en cas d’impératifs ou de difficultés, de rentrer en France, et les péripéties levées, de retourner en Égypte continuer mon périple. Il y a de grandes chance toutefois que je ne retournerai pas en Egypte le cas échéant.

La question de la documentation

Cette question est essentielle. Elle conditionne tout l’intérêt du voyage. Lorsque je serai seul sur les sites archéologiques, sans quelqu’un pour me donner des explications et nonobstant mes connaissances personnelles, un accès à une documentation pour comprendre l’histoire et la géographie du site est nécessaire. Sans cette documentation la visite s’appauvrit considérablement.

Mais pas question d’embarquer une bibliothèque papier, trop lourde, explicitant les sites archéologiques à visiter ou les guides touristiques papiers. L’ensemble de la documentation doit être numérique. Ce dont je me suis doté. J’ai ainsi confectionné une bibliothèque numérique des sites. Il convient que cette documentation soit disponible en lecture sur un équipement en fonctionnement hors réseau (hors ligne « mode avion »).

La question des moyens numériques

Cela implique de disposer de moyens numériques pour accéder à cette documentation : une bonne tablette, voire un bon smartphone, ce qui grève le poids du sac non négligemment.

Et de prévoir toute la connectique spécifique bien sûr.

La question de l’énergie embarquée

Par ailleurs, alors que le livre est toujours immédiatement accessible, les moyens numériques doivent disposer d’énergie pour fonctionner. Là se trouve une nouvelle difficulté.

Comment disposer de suffisamment de charge électrique et de charge électrique de secours pour ne pas se trouver démuni sur les sites isolés. Deux solutions :

  • le panneau solaire,
  • la batterie externe.

Et voilà que le sac à dos s’alourdit encore. Tout dépend du degré d’autonomie souhaité. Pour ma part j’aurai accès au moins tous les deux jours à un branchement secteur.

1ère solution : le panneau solaire. Il est possible de brancher directement le panneau aux équipements : tablette, smartphone, gps. Mais le montage le plus pertinent et de coupler le panneau à une batterie externe. Le panneau charge cette batterie pendant la journée, laquelle pourra charger les équipements pendant la nuit. Ainsi pas trop de fil qui se balade du panneau vers les équipements (tablette smartphone gps) en cours d’utilisation dans la journée. Alors pour ce montage il faut une batterie externe et pour que tout cela soit opérationnel il faut de la puissance au niveau du panneau et une puissance moyenne au niveau de la batterie externe, aux fins d’accéder à une recharge rapide et complète même par météo maussade.

2e solution une batterie externe exclusivement. Il convient que cette batterie puisse recharger une tablette 2 fois, un smartphone 4 fois, un Gps 3 fois. Et que les recharges de ces trois équipements puissent s’effectuer simultanément : ainsi la batterie doit disposer de 3 sorties. Elle ne doit pas non plus mettre trop de temps pour se recharger elle-même branchée au secteur (3 à 5 h). Autant dire qu’il faut une batterie externe puissante et performante. La puissance d’une batterie s’exprime en milliampères (mAh).

Chargeur Portable USB-C 26800mAh RAVPower, Câble Type C Inclus

Alors que choisir ? Compte tenu de mes besoins et des opportunités j’ai choisi l’option batterie externe exclusivement de 26800mAh, j’économise ainsi le poids du panneau solaire.

Le branchement secteur universel

Inutile en Egypte, les prises sont comme en France

La question du transfert de la bibliothèque numérique sur la tablette et/ou le smartphone.

Sur mon mac à Château-Bernard, la documentation est stockée dans le « finder » (arborescence) en répertoires et fichiers. Il convient de pouvoir consulter ces données in situ et hors ligne. Il faut donc disposer de ces répertoires et fichiers sur la tablette et le smartphone. Pour réaliser cette opération j’ai acquis 2 To dans le Cloud. Ainsi branchés sur le Cloud je peux télécharger définitivement la documentation sur ma tablette et mon smartphone, laquelle sera alors disponible sur les sites sans aucune liaison réseau (hors ligne).

La question de la sécurité des données

Oui mais voilà, la tablette et/ou le smartphone peuvent être endommagés, volés, ou tomber en panne. Il convient d’assurer la sécurité des données (bibliothèque numérique), pour éventuellement les retrouver sur un nouvel appareil (tablette ou smartphone). Pour cela j’ai mis en place 2 moyens :

  • mes données sont stockées sur le Cloud. Avec une connexion valide, elles pourront toujours être téléchargées sur un nouvel appareil,
  • mes données sont stockées sur deux clés USB de 128 GO chacune compatibles iPad iPhone.

La question du Gps

Pour la petite randonnée, compte-tenu des opportunités offertes par les smartphones, un gps n’est pas indispensable. Google Earth et Google Map sont suffisants.

La question des moyens de communication

Le plus pertinent est :

  • d’ouvrir un compte Whats’ap ou similaire : ainsi avec un accès wifi les communications sont gratuites ;
  • en arrivant au pays de destination, acquérir une carte Sim d’un fournisseur d’accès local et remplacer dans le Smartphone la carte Sim de votre fournisseur d’accès français habituel par cette carte Sim du fournisseur local. Cette carte Sim pourra également être acquises avec quelques GO (50 Go) d’acquisition et de transmission de données pour un accès internet en dehors des zones wifi gratuite.

Il conviendra de bien vérifier que le Smartphone :

  • dispose d’une bande passante compatible avec le pays visité ;
  • soit désimloké ;
  • et que la fonction « données à l’étranger » soit désactivée.

Pour ma part, j’équipe mon smartphone d’une carte Sim de 50 Go, tout comme ma tablette. Il est vrai qu’avec le blog j’ai besoin d’une bonne capacité en autonomie. Les connexion wifi ne sont quelque fois pas disponibles ou de mauvaise qualité dans les hôtels.

Par aillleurs, on peut toujours acheter sur place un mobile bas de gamme avec sa carte sim propre. Cela permet de garder son Smartphone originel sans changement. Mais c’est encore un équipement supplémentaire. Toutefois l’avantage de cette solution est la discrétion et de la modestie : cela évite de sortir son somptueux Smartphone dans des zones à risques.

À fuir, notamment pour de longs séjours, les abonnements hors de prix de votre fournisseur d’accès habituel français.

Le système des télécommunications n’est pas aux pays de bisounours.

La question des liquidités et des disponibilités bancaires

  • Prévoir suffisamment de liquide en dollars US, à changer en monnaie du pays « sur place » : par exemple 2 000 $. Il est préférable de changer « En une seule fois » pour éviter de multiplier les frais de change .
  • Par prudence disposer d’une seconde carte bancaire approvisionnée, d’une banque en ligne par exemple.
  • Essentiel : en sorte que vos cartes bancaires soient valides, bien prévenir les banques de vos cartes bancaires, des pays de destinations ou traversés, et des durées du séjour comme par exemple : Egypte, Israël, Liban, Jordanie, Égypte, Syrie, Turquie dans le créneau de dates du voyage.. . Il n’y rien de plus dangereux de se retrouver sans moyens de paiement.
  • Avec ces cartes bancaires valides il sera toujours possible de retirer de l’argent aux distributeurs mais les frais de commission sont importants. C’est pour cela que la solution la plus pertinente et nonobstant le risque que cela comporte est d’embarquer une somme confortable en liquide. Et si le retrait aux distributeurs est indispensable, ne pas multiplier les retraits pour les mêmes raisons. Toutefois les banques offrent maintenant des forfaits mensuel dits « Option Internationale » qui limite les frais de commissions pour les retraits et paiements par carte. Pour ma banque les abonnements vont de 4 à 18€/mois selon les options choisis. C’est une bonne formule pour la sécurité financière.
  • Pour les liquidités, en général le plus avantageux et de changer aux bureaux de change des aéroports à votre arrivée. Cependant en Egypte, il est plutôt conseillé de changer dans la banque « nationale » Misr Banque en s’armant de patience.
  • Enfin pour chaque paiement en carte bancaire, les banques – quelles qu’elles soient, y compris les banques en ligne – prélèveront une commission par opération, lesquelles commissions toutes ajoutées finiront par constituer un somme non négligeable.
  • Là encore le liquide est plus avantageux.

Et le système bancaire n’est pas aux pays de bisounours non plus.

La question de l’assurance

Il n’est pas raisonnable de partir sans assurance. Il est vrai que les cartes bancaires offrent maintenant ce service d’assurance.

Toutefois il est plus prudent de contracter une assurance spécifique de voyage. Il y en a beaucoup. Pour ma part j’ai choisi « Chapka » du 31 aôut au 30 nov 2022, pour un montant de 498 €. Je sais, c’est cher, mais bien moins cher que de subvenir sur ses propres deniers à des frais d’hospitalisation, ou des frais de responsabilité civile.
https://www.chapkadirect.fr

La question du couchage : la tente, le matelas, le sac de couchage

Il s’agit d’un équipement important. C’est « la maison de campagne » qui permet d’être serein en toutes circonstances et surtout autonome.

Tente ou hamac ?

Inutile de penser qu’il sera possible de bivouaquer en plantant sa tente en Egypte : trop dangereux et aussi interdit.
D’ailleurs au cours de mon voyage au Proche Orient, d’une durée de 2,5 mois je ne me suis jamais servi de la tente.

Nonobstant, mon besoin de sécurité a été plus fort que mon mental. Alors, je me suis équipé d’un hamac. Il se pourrait qu’un soir je sois pris au dépourvu sans que la bise soit venue. Dormir couché à même le sol sur mon tapis en compagnie des scorpions et des serpents – peut-être – ne m’enchante guère. Alors … à tout hasard je me suis équipé d’un hamac ultra léger.

Marque : Tickettothemoob
Produit : Lightest Hammock

https://fr.ticketothemoon.com/hamac/hamac-leger

Poids : 217 g

Le choix du matelas

Par contre disposer d’un matelas est peut-être judicieux, pas mesure de précaution.

Matelas autogonflant Thermarest Small

Il n’est pas nécessaire de disposer d’un matelas de toute la longueur du corps. Préférer les types « Small » qui s’arrêtent à mi-cuisses. Pour réduire le poids : un matelas autogonflant. Son poids est de 369 g.

Le sac de couchage

En naviguant sur le Nil, en cette période de l’année, les nuits ne devraient pas être trop froides. Un sac de couchage léger en duvet toutefois suffira.

414 g

La question des vêtements

Il ne s’agit pas ici de dresser l’inventaire des vêtements nécessaires mais il sera préférable de se munir :

  • d’une bonne paire de lunette de soleil polarisante ;
  • d’un chapeau avec cordon ;
  • 1 veste technique déperlante ;
  • 1 micro polaire légère ;
  • 3 chemises (j’ai bien écrit : « chemise ») techniques ;
  • 1 teeshirt ;
  • 2 pantalons corsaires ;
  • 1 short de bain ;
  • 2 paires de chaussette en laine de mérinos ;
  • 2 paire de sandale de marche ;
  • 1 trousse de toilette avec 1 mini lots de 3 serviettes microfibre ;

Pour les vêtements dans des sacs étanches spécifiques permettant de faire le vide.

Le petit matériel et de réparation
  • lacets de rechange ;
  • 5 m de cordelettes ;
  • petits mousquetons …

La question de la pharmacie

Grâce à la collaboration de mon excellent médecin traitant et de ma pharmacienne préférée, j’ai pu établir ma trousse de pharmacie « de campagne ». Je profite de cet article pour les remercier de leur aide précieuse.

Les indispensables à prévoir :

  • du matériel traumatique pour les plaies : désinfectant, bandes, stéristip … ;
  • des antidiurétiques (pour la tourista ») ;
  • des antibiotiques large spectre ;
  • des antalgiques ;
  • des anti-inflammatoires.

Et bien se munir des ordonnances, pour la police des frontières.

Ci dessous le tableau de ma pharmacie :

Pour une lecture plus confortable, le lien ci-dessous :
https://paysdecham.fr/wp-content/uploads/2022/08/20220814_PharmacieDeCampagne.png

Déconditionnée toute la pharmacie tient dans cette trousse avec les notices.

La question de la vaccination

Bien sûr une vaccination Covid complète.

En sus :

  • vaccination Hépatite B : lorsque l’immunité doit être rapidement acquise (en cas de départ imminent), un schéma accéléré comportant 3 injections rapprochées à J0, J7, J 21 et une quatrième dose 1 an plus tard peut être utilisé, uniquement chez l’adulte. Même dans ce shéma autant s’y prendre à l’avance ;
  • vaccination : diphtérie, tétanos, poliomyélite (DTP) – 1 injection ;
  • vaccination Hépatite A, 1 injection.

Ouf !

Enfin le blog « Pays de Cham » construit en 2018

Il n’était pas prévu au départ. Cependant en 2018 au fur et à mesure du mûrissement du projet, il est apparu comme une évidence. Comme je l’ai écrit précédemment :  » Ce blog de voyage que j’appelle « Pays de Cham » a pour intention de partager mon aventure. Conçu pour une recherche personnelle, avec ce blog, ce voyage s’enrichit, s’élargit et s’approfondit à cette dimension du partage. Je le rends ainsi plus fraternel. »

Pour y accéder il faut taper dans l’adresse suivante dans votre navigateur :

http://www.paysdecham.fr

Il faut comprendre qu’un blog est un site web. Avec la particularité qu’il permet de dialoguer avec son auteur (commentaires).

Je n’avais jamais construit de blog bien sûr. Il m’a fallu tout apprendre. Avec internet et les « tutos » on peut se former. Il y a de nombreux sites qui expliquent comment établir un blog. Mais j’ai eu aussi de l’aide de deux copains : Jean-Thierry qui m’a indiqué les premières pistes à suivre, puis
Jean-Jacques qui a optimisé et corrigé mon blog une fois ébauché. Leur aide a été précieuse et je les en remercie chaleureusement. J’ai maintenant mon voisin Vincent qui m’assure la surveillance du bon fonctionnement du blog. Je le remercie tout aussi chaleureusement.

Pour faire un blog il faut :

  • Acheter un nom de domaine. Le mien est « Pays de Cham » ;
  • Choisir un CMS il s’agit d’un système de gestion de contenu ou SGC (content management system ou CMS en anglais). C’est un logiciel dédié à la conception et à la mise à jour dynamique de sites Web. Pour ma part j’ai choisi WordPress (WP) ;
  • Il faut choisir un hébergeur chez lequel le blog est domicilié. J’ai choisi : OVH ;
  • Une fois le site à peu près installé, il faut lui adjoindre des « extensions » ou « plugins ». Il s’agit de petits programmes supplémentaires pour sécuriser le site par exemple ou compresser la taille des photos, ou mettre en place une newsletter pour avertir familles et amis que vous publiez un nouvel article ;
  • Il faut configurer votre mailing et votre newsletter. Et dans la liste de diffusion de votre newsletter il faut entrer toutes les adresses mail, de la famille et des amis à qui envoyer les articles ;
  • Et enfin « last but non least » il faut rédiger les articles, apprendre à les mettre en lignes, et envoyer la newsletter .

Je peux dire que là j’en ai bien bavé.

Il a fallu aussi que je prenne en compte que je serai éloigné de mes bases et du confort douillet de mon ordinateur de bureau. Qu’il me conviendra de rédiger et de publier des articles avec ma seule tablette (un clavier amovible est précieux). Et que pour cela il me faudra suffisamment de batterie. Enfin il faut considérer que je ne disposerai pas toujours d’une connexion wifi avec un réseau performant, mais plutôt de pas de réseau du tout ou d’un réseau déficient comme le sont souvent les réseaux publics gratuits ou ceux des hôtels.

Le tableau récapitulatif du bagage

Récapitulatifs des poids

https://paysdecham.fr/wp-content/uploads/2022/08/PoidsAvecTableau.png

https://paysdecham.fr/wp-content/uploads/2022/08/PoidsMesurés.png

Le grand sac à dos de voyage :

https://paysdecham.fr/wp-content/uploads/2022/08/TableauSacÀDosVoyage.png

Le petit sac à dos de ville :

https://paysdecham.fr/wp-content/uploads/2022/08/TableauSacÀDosVoyage.png

Sachant que le petit sac à dos de ville sera par moment placé dans le grand sac à dos.

Bon j’arrête là, et si vous êtes arrivés jusque là, c’est que vous être bien courageux. lol

Michel

7 réflexions sur « 20220825 Quelle préparation ? »

  1. Bonjour, Michel.
    J’espère que tu vas bien ?
    C’est toujours un plaisir de suivre tes aventures et comment tu les prépares.
    Toute fois, je ne suis pas aussi bon que toi pour faire mon sac lors de séjour, mais j’y arrive petit à petit.
    J’espère que ton voyage se déroule bien.
    A bientôt, Andréas et sa mère Annie-Jeanne.

  2. Bonjour Michel,
    quel travail !
    J’ai transmis à Alex, parce-que j’ai un peu la sensation qu’il part pour un an « chez » les bisounours !!!
    Le départ approche pour vous, je vous souhaite un agréable voyage et attends avec impatience d’en partager le contenu…
    A tout bientôt.

  3. Semaine prochaine c’est la rentrée scolaire. Le cartable est prêt.
    Personnellement, j’aurai rajouté quelques biscuits au beurre salé pour le goûter mais
    « celui qui veut voyager heureux doit voyager léger » Antoine de Saint-Exupéry (à ne pas confondre avec Antoine le monteur de Yourte en moyenne montagne).
    Une préparation méticuleuse est rassurante. Maintenant commence le temps de l’excitation voir de l’impatience avant le départ.

  4. Oui bien arrivée jusque là !
    Gros travail de préparation….
    La préparation, comme le transport, fait aussi partie du voyage.Merci du partage
    Bonne route😉
    Gen

  5. Salut Michel
    Quelle organisation ! Tu vas être prêts à publier un guide « Comment voyager léger et efficacement avec son sac à dos » !
    PS: il existe des cartes de crédits sans frais pour les paiements et retraits hos zone € par ex Hello bank de BNP.

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